Filles et garçons sur le chemin de l’égalité

À l’occasion du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, la DEPP publie Filles et garçons sur le chemin de l’égalité – de l’école à l’enseignement supérieur. Ce fascicule présente sous forme d’infographies et de graphiques des données statistiques sur la réussite comparée des filles et des garçons depuis l’école jusqu’à l’entrée dans la vie active.

 

Cette publication annuelle met en évidence des différences selon les genres en matière de parcours et de réussite des jeunes, de choix d’orientation et de poursuite d’études entre filles et garçons, qui auront des incidences ultérieures sur l’insertion dans l’emploi ainsi que sur les inégalités professionnelles et salariales entre les femmes et les hommes.

https://www.education.gouv.fr/filles-et-garcons-sur-le-chemin-de-l-egalite-de-l-ecole-l-enseignement-superieur-edition-2022-340445

Le quart d’heure de lecture national – #10marsjelis

Dans le cadre de la Lecture grande cause nationale 2021-2022, l’ensemble des personnels et élèves des écoles et des établissements sont invités à interrompre leur activité le 10 mars aux alentours de 10h pour lire durant un quart d’heure.

Le « quart d’heure lecture » est mis en place depuis 2018 au sein de l’Éducation nationale. Ce temps banalisé de lecture personnelle développe la concentration des élèves, leur aisance et leur attachement à une pratique régulière de la lecture. Il est donc appelé à être systématisé à l’école et au collège. Les modalités de mise en œuvre sont simples et nécessitent peu de moyens :

  • Seuls le silence et la possession d’un livre sont obligatoires ;
  • Le texte lu est librement choisi par chacun.

Attestation du savoir nager en sécurité

L’ attestation scolaire « savoir nager » est remplacée par une Attestation du Savoir Nager en Sécurité (ASNS) délivrée dans le cadre scolaire (décret et arrêté du 28/02/2022).

L’objectif est inchangé : reconnaître la compétence d’un jeune à nager en sécurité, dans un établissement de bains ou un espace surveillé (piscine, parc aquatique, plan d’eau calme à pente douce).

Ce qui change dans le parcours test :
– la distance à parcourir (ventral et dorsal) est de 20 m (au lieu de 15 m)
– une 10e composante au parcours est ajoutée « s’ancrer de manière sécurisée sur un élément fixe et stable ». Pour apprécier la capacité de sécurisation du pratiquant, plutôt que d’apprécier la capacité à « sortir de l’eau » ou à « remonter dans un bateau », cette modalité permet de répondre à la diversité des contextes d’organisation.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045269090